Je crois bien que l’inquiétude l’a torturé toute sa vie. Toutes sortes d’inquiétudes, matérielles, morales, spirituelles, et elles avaient fini par raviner son visage comme la pluie érode les rochers les plus durs, comme l’oxyde ronge les métaux. Sans doute, les pages publiés de Journal jettent-elles quelques lueurs sur cette vie intime. Je persiste à penser que ce Vaudois pudique et protestant s’est bien gardé de nous livrer tout son secret.Maurice Zermatten, Connaissance de Ramuz, 1947
Je crois bien que l’inquiétude l’a torturé toute sa vie. Toutes sortes d’inquiétudes, matérielles, morales, spirituelles, et elles avaient fini par raviner son visage comme la pluie érode les rochers les plus durs, comme l’oxyde ronge les métaux. Sans doute, les pages publiés de Journal jettent-elles quelques lueurs sur cette vie intime. Je persiste à penser que ce Vaudois pudique et protestant s’est bien gardé de nous livrer tout son secret.
C. F. Ramuz und Maurice Zermatten, Anfang der 1940er-Jahre fotografiert von Canisius Chavaillaz
Privatsammlung
© Succession Canisius Chavaillaz
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