In der Mitte der Schwarzweissfotografie sitzen C. F. Ramuz und Maurice Zermatten auf einem steinernen Absatz. Beide haben ihre Finger auf den Knien verschränkt. Zermatten blickt Ramuz an, der in die Kamera schaut. Die beiden sind von Bäumen und Pflanzen umgeben.

Je crois bien que l’inquiétude l’a torturé toute sa vie. Toutes sortes d’inquiétudes, matérielles, morales, spirituelles, et elles avaient fini par raviner son visage comme la pluie érode les rochers les plus durs, comme l’oxyde ronge les métaux. Sans doute, les pages publiés de Journal jettent-elles quelques lueurs sur cette vie intime. Je persiste à penser que ce Vaudois pudique et protestant s’est bien gardé de nous livrer tout son secret.

Maurice Zermatten, Connaissance de Ramuz, 1947

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C. F. Ramuz und Maurice Zermatten, Anfang der 1940er-Jahre fotografiert von Canisius Chavaillaz

Privatsammlung

© Succession Canisius Chavaillaz